Deux tiers des logements HomeExchange sont situés hors des grandes ville et 81 % sont des résidences principales, préservant ainsi le marché locatif et la qualité de vie locale.
En 2024, HomeExchange poursuit son développement en tant qu’acteur de référence dans l’échange de maisons. La plateforme rassemble désormais une communauté de plus de 200 000 membres (deux fois plus d’adeptes depuis 2023). Cette évolution reflète une volonté forte : prouver qu’un modèle basé sur le partage peut s’inscrire dans une démarche bénéfique pour la société.
Face aux défis croissants liés à l’impact des locations de courte durée sur les marchés immobiliers et les communautés locales, l’échange de maisons se positionne comme une alternative vertueuse. Ce concept propose une approche de « réconciliation »qui répond à des enjeux clés : préserver l’accès au logement, protéger la qualité de vie dans les villes, tout en offrant aux voyageur·euse·s une expérience plus authentique et plus abordable.
Dans cette optique, HomeExchange partage de nouvelles données illustrant son impact sociétal intrinsèquement positif, et ce à travers deux engagements qui façonnent sa vision du tourisme de demain.
Réinventer le tourisme pour préserver les communautés locales
En France, en 2024, 75% des logements inscrits sur la plateforme se situent hors des grandes agglomérations de plus 150 000 habitants et 81% sont des résidences principales. Ces données permettent à HomeExchange de valoriser un usage équilibré des habitations. Cette approche évite d’empiéter sur les marchés locatifs traditionnels, en préservant la disponibilité des logements longue durée et en limitant leur hausse de prix.
HomeExchange favorise un ancrage local qui contribue également à une meilleure répartition des flux touristiques au-delà des destinations victimes de surfréquentation, avec, par exemple, 73% des échanges qui s’effectuent dans ces résidences principales.
Des destinations « Dupes » françaises connaissent un succès grandissant. Elles répondent à une demande croissante pour des expériences authentiques, loin du tourisme de masse. Les exemples de lieux ci-dessous ont vu le nombre d’échanges de logements doubler, voire tripler, de 2023 à 2024, tout en représentant un flux raisonnable (moins de 0,5% du total des nuitées touristiques pour chacune de ces destinations et leurs environs) :
- Le Colorado Provençal (Rustrel) plutôt le Grand Canyon des États-Unis
- Les volcans d’Auvergne plutôt que le Piton de la Fournaise de l’Île de la Réunion
- Le plateau des Mille Étangs (Haute-Saône) surnommé « la petite Finlande »
- Guéthary plutôt que Biarritz
- Les gorges de la Sioule plutôt que les gorges du Verdon
- Sète surnommée « la Venise du Languedoc »
De plus, 35% des nuitées ont été réalisées en dehors des saisons touristiques classiques l’année dernière (+7% vs 2023). Cela soutient, une fois encore, une meilleure répartition des flux, mais aussi une activité économique locale plus pérenne, moins soumise aux variations saisonnières.
Créer un impact social mesurable
Le système de l’échange de maisons est particulièrement économique (160€ d’adhésion annuelle avec HomeExchange). Il permet à des familles faibles revenus de s’évader, économisant en moyenne 35% du budget alloué aux vacances. 21% des membres français·e·s ont d’ailleurs répondu l’année dernière qu’ils·elles n’auraient pas pu partir en vacances sans HomeExchange. Toutefois, l’impact social de l’entreprise va bien au-delà.
HomeExchange repose sur un modèle unique de confiance et de réciprocité, sans transactions financières ni spéculation, rendant impossible une quelconque professionnalisation de cette pratique. Les membres échangent ainsi leur logement sans profit, favorisant des relations basées sur le respect mutuel. En 2024, 99,7% des échanges se sont déroulés sans incident déclaré, témoignant de la sécurité et de la fiabilité du système.
La plateforme met en effet un point d’honneur à encourager des interactions de qualité entre ses membres. Cela se reflète également dans la note globale moyenne des utilisateur·ice·s, qui atteint 4,96/5 en 2024, englobant des critères tels que la communication, le respect des attentes, la propreté, la confiance et la politesse.
Par ailleurs, cette approche contribue à des relations apaisées entre locaux et voyageurs·euses. Elle limite les nuisances souvent associées aux locations de courte durée, comme les allées et venues incessantes. Avec une moyenne de 16 nuits d’occupation par logement et par an, HomeExchange se distingue du marché locatif saisonnier : ce dernier est encadré par la loi française qui limite ces locations à 120 jours par an afin de préserver l’équilibre des quartiers.
Une dynamique illustrée également par ce chiffre : selon une étude menée par HomeExchange et Goodwill début 2024, 66% des membres considèrent leurs invité·e·s comme plus respectueux·euses que des locataires de courte durée.
Texte et visuels fournis par le service presse de HomeExchange en France.
