Les différents congrès ont galvanisé les troupes. Il semble qu’en France, l’optimisme revient en cette fin d’année. En Allemagne, l’ambiance au comptoir s’améliore, tant le bilan de la vente en cours que les perspectives sont positives. L’indice du climat des ventes touristiques montre une tendance à la hausse en décembre.
Le climat des ventes en décembre est à son plus haut niveau depuis 2017
En décembre, la situation actuelle de la vente de services de voyage a été notée nettement plus positivement qu’en novembre. Environ 37 % des agences de voyages participantes évaluent la situation actuelle comme bonne, ce qui signifie une augmentation de 15 %. Ainsi, le nombre de participants jugeant la situation satisfaisante (-11 %) et mauvaise (-4 %) a diminué.
Les ventes stagnent à un bon niveau
En ce qui concerne la vente de voyages, 43 % (mois précédent 42,5 %) des participants déclarent que celle-ci a augmenté au cours des deux à trois derniers mois par rapport à l’année précédente. 40% des personnes interrogées déclarent qu’il n’y a pas eu de changement par rapport à l’année précédente, soit une augmentation de 4% par rapport à novembre. Seulement 17 % de toutes les agences de voyages participantes ont vu leurs ventes de services de voyage chuter (mois précédent 21 %).
Une personne sur quatre s’attend à une augmentation de la demande
Pour l’avenir, la tendance à la hausse amorcée en novembre se poursuit. 10% de participants de plus qu’en novembre s’attendent à une augmentation de la demande de services de voyage au cours des six prochains mois par rapport à l’année précédente (décembre : 27 % / novembre : 17 %). Une bonne moitié de tous les répondants ne s’attendent à aucun changement (mois précédent 47%). Seuls 23% s’attendent à une baisse de la demande, ce qui signifie une amélioration notable par rapport à novembre (36%).
Davantage de revenus
23 % de toutes les agences de voyages participantes s’attendent à une amélioration de la situation des revenus au cours des six prochains mois. En novembre, seuls 16 % s’attendaient à une amélioration de la situation des bénéfices. La proportion de ceux qui s’attendent à ce que les choses empirent est passée de 40 à 27 %. La moitié de tous les participants ne s’attendent à aucun changement (mois précédent 45%).
