À l’aéroport de Santiago, les autorités du tourisme et le principal terminal du Chili ont signalé des changements dans les conditions d’entrée des étrangers non résidents à partir de ce mois-ci.
Les principales nouveautés sont la suppression de la déclaration sous serment et l’obtention du certificat d’homologation des vaccins, deux procédures particulièrement fastidieuses qui menaçaient la reprise du tourisme réceptif au Chili.
A partir de maintenant, lors de l’embarquement sur un vol à destination du Chili depuis la destination d’origine, le passager non résident (âgé de plus de 18 ans) doit uniquement présenter au personnel de la compagnie aérienne une preuve de vaccination délivrée dans le pays où il a été vacciné. S’il ne dispose pas d’un calendrier de vaccination complet, le passager doit présenter un résultat de test PCR négatif effectué jusqu’à 48 heures avant le vol. Les passagers de moins de 18 ans n’ont aucune condition d’entrée.
Désormais, la preuve de vaccination obtenue dans le pays d’origine (ensemble avec une pièce d’identité), est considérée comme équivalente au “Mobility Pass” au Chili, de sorte qu’à partir du 1er septembre, il n’est plus nécessaire que le passager non résident procède à l’homologation des vaccins. Ainsi, et pour encourager le tourisme, un visiteur pourra entrer dans les hôtels et restaurants en présentant seulement la preuve de vaccination de son pays et sa pièce d’identité.
Cependant, pour les voyages en Polynésie chilienne (île de Pâques), en raison d’exigences et d’accords internes, on demande un test PCR valable jusqu’à 24 heures avant l’embarquement, en plus du billet aller-retour et de la réservation d’hôtel ou de l’invitation d’un résident. Une fois à destination, les visiteurs seront convoqués par l’autorité sanitaire locale pour un test antigénique.
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