En France, 80% de l’activité touristique se concentre sur 20% du territoire. Au fil des années, le terme “surtourisme” n’a cessé de prendre de l’ampleur médiatique au point que le mot vient de faire son entrée dans le Petit Robert 2025 avec pour définition : « présence touristique perçue comme excessive et nuisible ». Nuisible à la fois pour l’environnement, les écosystèmes et la qualité de vie des locaux, certaines localités, depuis 2021/2022 ont mis en place des quotas afin de limiter le surtourisme.
Par exemple : dans la Calanque de Sujiton, à Marseille, la réservation en ligne est désormais obligatoire pour s’y rendre. Les visiteurs sont limités à 400 par jour. A Porquerolles, la jauge est fixée à 6 000 passagers par jour tandis que sur l’Ile de Bréhat elle est de 4 700 passagers par jour.
Chaque voyageur, à son échelle, peut avoir un impact positif afin de limiter le surtourisme, en privilégiant des destinations moins prisées. En ce sens, GreenGo, 1ère plateforme de logements éco-responsables en partenariat avec Lokki, plateforme spécialisée dans la location d’équipements de loisirs en France, vient de publier son guide des 5 échappées belles oubliées. Discrètes, presque secrètes, c’est précisément dans ces destinations que le tourisme durable peut jouer un rôle crucial, invitant à une exploration plus consciente, plus respectueuse de l’environnement au sens écologique et sociologique.
– La Creuse, trésor caché du centre de la France
– La Côte d’Opale, la mystérieuse
– Le Morvan, un écrin de Verdure
– Gorges de la Sioule, la beauté sauvage
– Le Plateau des 1 000 étangs, la petite Finlande
« Depuis notre lancement en 2021, nous avons à cœur de favoriser le tourisme dans des régions moins sollicitées afin de permettre aux français soucieux de leur impact environnemental de profiter de séjours authentiques, parfois insolites, en accord avec leurs valeurs. D’année en année, nous avons observé un vrai engouement pour ces territoires, conséquence d’une prise de conscience de plus en plus prégnante chez les voyageurs qui ont la volonté de limiter le surtourisme. » explique Guillaume Jouffre, co-fondateur de GreenGo.